Et voici le troisième chapitre qui lui aussi appartenait à la base au chapitre 1 (il était long le chapitre hein !). Et donc après celui çi je n'aurais plus à m'énerver contre les copier/coller pas clairs de kazeo ... bonne lecture !!!

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Chapitre 3 : Retour à la solitude.

Des voitures de polices encerclaient le magasin.Je les regarde de loin, les larmes aux yeux. J'ai peur et j'ai froid mais seule l'image de ma seule et unique amie, assassinée sans aucun état d'âme m'emplissait les pansées.

Mes mains étaient glacées, j'ai erré sans fin sans savoir où aller. Je savais que si la police m'attrapait ils tenterons tous pour me tuer, comme un animal, un monstre. Personne n'est immortel, je le savais, je savais qu'ils finirons par aboutir à ma fin. J'ai l'impression que ça fait des siècles que je suis partie, que ma vie à changé, entièrement. J'ai à nouveau regardé mes mains, maculées de sang, le sang de mes victimes, mes premières victimes. Je ne savais pas quoi penser, je ne pensais pas, c'est comme si cette information refusait d'entrer en moi, que j'ai tué 7 personnes, que je les ai tué. J'ai regardé le ciel. Pendant une fraction de secondes je me suis demandée qui a été assez inconscient pour m'envoyer ici, moi la meurtrière. Puis je me suis souvenue des paroles de Mélodie: -"Quand je t'ai vu j'ai cru que tu étais un ange.,,

Un ange, un ange ... J'ai posé ma tête sur mes genoux. Et si ce n'était pas si mal d'avoir fais ça ? Une innocente à été tué à cause de ces policiers et les autres ne sont pas intervenus... De toute façon ils seraient morts un jour ou l'autre. J'ai essuyé mes mains et je me suis relevée. J'ai regardé les taches mordorées qui parcouraient mes vêtements. Eux aussi ont fais coulé mon sang et ils n'avaient pas l'air de se sentir coupables... Lentement j'ai glissé vers la sortie de la ruelle étroite. J'ai regardé la ville presque paisible après qu'autant de souffrance aie été fait. Soudain une silhouette me percuta de plain fouet. Terrifiée, j'ai saisi une grosse pierre et je l'ai brandit en l'air, la menace se lisait sur ma bouche. Une jeune fille surprise retomba en essayant de se relever. Gênée, j'ai rabaissé mon bras faisant mine de rien. "- Excusez moi, je...,, ai-je commencé. Mais elle s’enfuie à toute jambe. C'est bien ma vaine, elle va sans doute prévenir la police. J'ai tous de suite abandonnée l'idée de sortir dans la ville.

Tapie dans l'ombre j'attendais que le lendemain, j'avais beau souffrir de faim je ne m'en inquiétait pas, persuadée de mon immortalité mais bien vite j'ai senti ma tête tourner j'avais presque l'impression de voir des étoiles là où il n'en faut pas. J'ai regardé autour de moi mais je n'ai rien vu de mangeable. J'ai essayé de me relever mais j'avais beaucoup plus difficile que tous à l'heure. J'ai eu peur, j'avais peur de mourir, c'est vraiment étrange comme sensation...

Une main se posa sur mon épaule. Je me suis retournée tellement violemment que mon manque d'énergie me laissa m'écrouler au sol. De ma vue devenue floue j'ai reconnus les cheveux bruns légèrement bouclés de la fille de tout à l'heure. "- Je ... je suis désolée mais ... je ... je voulais m'excuser pour tantôt...,, Agacée, je lui ai lancé un regard noir. Mais la jeune fille, intimidée tendit vers moi un sachet qui paraissait contenir de la nourriture. Je me suis assise devant elle. "- Que veux tu ?,, "-Je l'ai dit, je voulais m'excuser!,, Elle s'est assise à son tour. Elle devait avoir le même age que moi. Elle avais des yeux étincelants d'une couleurs turquoise et des lèvres pulpeuses. Elle avais tous pour être belle... mais sa façon de se tenir changeait la donne. Elle étais assise, les bras sur ses genoux comme un sumo, le dos vouté et la tête baissée qui faisait tourner ses yeux vers le haut. J'ai insisté du regard sur son maintien mais elle n'y fit pas attention. "- Quand je t'ai aperçu tantôt, j'ai crus que tu faisait un cosplay, je me trompe ?,, dit-elle d'une voie retenue dans sa gorge comme pour la rendre plus aigüe. "- Heu... pas vraiment,, j'ai tout de suite regretté d'avoir répondu ça, j'aurais encore pu sauver la situation.

Un grand vide s'installa.

La jeune fille pencha sa tête sur le côté comme si elle ne comprenais pas. "-Mais dit donc, que fais tu dehors à cette heure-ci ?,, ai-je lancé pour me défendre. Elle a haussé les épaules Et sortit de son sachet une brioche qui avais l'air fourrée à la framboise et mordit dedans. Voyant cette scène j'ai crié: "- Mais t'as pas honte de faire souffrir les honnêtes gens ?! - Tu n'es pas honnête, tu es la meurtrière que tout le monde recherche en ce moment...j'ai vu ta photo sur une affiche. Je me suis relevée , vexée et affamée. J'ai commencé à partir quand elle ajouta: "-L'offre de la brioche tien toujours.,, elle secoua le sachet. Piégée par de la nourriture... je me répéta cette phrase en avancent prudemment vers l'inconnue. Mais contrairement à toutes les choses aux quelles j'ai pensé, elle m'a simplement tendu la deuxième brioche. "-Viens avec nous, tu sera en sécurité.,,

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Pfff elle s'est faite appâter par de la nourriture ! Haaaaaaaaa ... plus de copier/coller !!!! Yahouuuuuu !!! Merci de votre lecture ! A bientôt !

Voilà le chapitre 2 ... que j'ai coupé au chapitre 1 ... j'éspère que je n'aurais plus à chipoter avec ça ... enfin soit ... bonne lecture !

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Chapitre 2 : Une errance douloureuse.

    Un profond silence habilla la nuit. J'ai pas osé sortir de ma cachette mais la faim commençait à se faire ressentir. Bientôt de grosses gouttes grises tombèrent du ciel. Lentement j'ai rampé vers un abris mais l'eau filtrait à travers le bois déjà humide. D’énormes immeubles m’entouraient. Quelques lumières se diffusaient derrière d'épais rideaux. J'ai regretté d'être partie, ils me traitaient comme une bête mais j'avais un foyer. Les joues mouillées non pas par la pluie, je me suis dirigée vers la sortie de la ruelle. J'ai voulu rentrer, juste rentrer.

Après quelques mètres, le bruit des grandes villes parvint à mes oreilles. Il y avait beaucoup de monde dehors, malgré l’obscurité de cette nuit automnale. Les passants, munis d'un parapluie marchaient tous d'une allure monotone. Quelques uns s'arrêtèrent pour me regarder. Mais j'ai levée la tête et j'ai marché droit en direction du laboratoire. Une foule de badaud se tenaient devant un mur. Je me suis discrètement approchée. Ils regardaient une affiche. Sur l'affiche, moi. Une photo accompagnée de deux phrases: psychopathe recherchée. A capturer morte ou vive.

Une vague de froid me parcourut. Morte ? Quelques personnes se retournèrent en me regardant et commencèrent à chuchoter. L'un d'eux sortit un téléphone portable de sa poche. Je me suis alors enfuie à toute jambe de peur de me faire arrêter. Je n'avais plus du tout envie de rentrer. J'ai courus dans les rues sous les regards des gens. Non loin de la j'entendis une sirène de police. Pendant un instant j'ai arrêté de respirer et puis ... plus rien.

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Une voix me tira du sommeil.  Une voix aigüe, celle d'une petite fille. J'ai ouverts les yeux, ma vue était un peu brouillée. Mais c'était bel et bien une petite fille. Elle devait avoir dans les alentours de 10 ans. Ses cheveux étaient très courts et noirs comme le ciel se découvrant à présent sous les nuages charbonneux.

J'ai plus attentivement regardé autour de moi en me frottants les yeux. Quartes murs délabrés se tenaient autour de moi. C'était une sorte de vieille maisons dont une partie du toit à été arrachée. Une odeur de pourriture parvenait à mes narines. Instinctivement j'ai froncé les sourcils en agitant ma mais devant mon nez. La fillette parut embarrassée et me présenta ses excuses. "- Tu habites vraiment ici ? - Oui ... - Comment ça se fait ? - Oh c'est une longue histoire et puis j'y suis habituée. Ah en fait qu'est ce que te voulaient ces policiers ? - Je ... - Non ça va t'es pas obligée de répondre.,, J'ai baissée la tête, submergée par une émotion forte; la tristesse. "- Au fait, moi c'est Melodie. dit la fillette. - Et moi Sasha.

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Sasha marchait au côté de la petite. "- Dit donc, Mélodie c'est pas un nom courant par ici ... - Oui c'est un nom français. - Oh je vois ... - Et toi ? - Je sais pas trop. - Tu a raison on trouve de tout à Los Angeles. - Oui ... mais je suis jamais vraiment sortie enfin si mais rarement... - Pourtant c'est une belle ville ici ... - C'est vrai.,, Sasha sourit timidement. "- Tu sais quand j'habitais encore avec mes parents... heu ... j'habitais de l'autre côté de la ville ... là bas. Mélodie indiqua un amas d'immeubles plus loin. Si ça se fait on est née dans le même hôpital !,, dit elle. Sasha se retourna et marcha quelques pas à reculons. "- Je crois pas ... - Ah non tu n'es pas née dans cette ville ? - Je sais pas. - Tu as été adoptée ? Nanh tu n'est pas obligée de répondre... - ... Alors où va-on ? - J'ai un ami qui travaille dans une boulangerie je vais lui demander un peu de pain. - C'est vrai que je commence à avoir faim ...,, Les deux jeunes filles marchaient à travers des rues sombres malgré la casquette que portait Sasha pour cacher ses cheveux rouges. "- Tu sais Sasha, j'ai toujours voulu habiter en Europe, c'est de là que viennent mes origines... je voudrais savoir comment c'est ... - Il parait que c'est très paisible là bas. - Et toi ? Tu ne voudrais pas savoir d'où tu viens ? - Je viens du ciel. - ... ,, La fillette la regarda un instant. "- C'est vrai tu es peut être un ange venu du ciel pour accomplir une mission divine . - Tu crois ? - Quand je t'ai vu la première foi c'est ce que j'ai cru. Oh on est arrivées !,,

***

Les deux jeunes filles étaient arrivé devant le magasin ou je travaillais. Je m'en rappelle. C'était un dimanche matin. Il y avait beaucoup de monde dans le magasin. Mélodie est entrée accompagnée d'une fille plus âgée. Elle portait une casquette ridicule sur sa tête mais malgré ça je l'ai tout suite reconnue. Mon amie s'est approchée de moi en souriant alors que je fesais discrètement signe à un autre employé. Après quelques minutes seulement un bruit de verre cassé retenti. Deux hommes habillés en noirs et armés entrèrent dans le magasin ils tirèrent sur la chose mais étrangement elle ne s'écroula pas. A la place un petit corps s'étendit sur le sol. J'ai paniqué et je me suis enfuit. Plus tard quand j'ai osé revenir à mon travail, toutes les personnes se trouvant de cette boulangerie lorsque je l'ai quittée gisaient au sol. Du sang recouvrait les murs, un vrai carnage. La seule personne qui y manquait était le monstre, la fille aux cheveux de sang.

***

Quand j'avais vue Mélodie s'écraser au sol, une balle dans la tête, je m'était effondrée à mon tour. J'ai pleuré, ne sentant même plus la douleur du métal me transpercer de partout. L'un des hommes en noir, le chef certainement cria un ordre que je n'ai pas entendu. Mais j'ai vu, j'ai vu les visages plains de haines m'entourer. Devant le massacre d'un enfant leurs expression était démunie d'empathie. Après je ne sais pas à quoi j'ai pensé ni ce qui m'a pris mais je sais que j'ai fait couler du sang.

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Pauvre petite Mélodie é_è ..... voilà c'est ici que se termine le chapitre 2 ... ouiiiin ... merci de votre lecture ... et à bientôt !